Un nouveau conseil d’administration vient d’être nommé au Chirec, avec comme président, le Dr Nicolas Daoud. La faculté d’adaptation et l’attractivité sont pour lui les deux axes prioritaires auxquels il sera vigilant.
« Ce qui m’a motivé pour postuler à la présidence, c’est un ensemble d’éléments. Il y a, tout d'abord, une véritable motivation personnelle. A cela, s’ajoute une volonté de travailler dans la continuité. Cela fait 18 ans que je fais partie du conseil d’administration. Je connais les dossiers et l’historique de l’institution. J’ai participé aux différentes fusions et à la constitution du Chirec. Il s’agit d’une magnifique aventure que je souhaitais poursuivre. »
La qualité des soins
La faculté d’adaptation et l’attractivité sont pour lui les deux axes prioritaires. « Nous nous focaliserons en effet sur ces deux points essentiels. En terme d’attractivité, je pense au patient, mais aussi à l’ensemble du personnel. Pour les patients, au-delà de la qualité de soins, notre volonté est de continuer à leur procurer une grande accessibilité et une offre de soins de proximité via nos multiples sites hospitaliers et centres médicaux répartis à Bruxelles et dans le Brabant wallon. »
L’attractivité
Pour lui, en matière d’attractivité, il faut évidemment penser « aux médecins et à l’ensemble des membres du personnel. Je dis bien tous les métiers de l’hôpital. Il est important de leur offrir des conditions de travail optimales et de penser à leur bien-être afin qu’ils puissent s’épanouir au sein de notre institution. Sans eux, l’hôpital ne peut pas fonctionner. »
L’adaptation
L’évolution permanente des soins de santé demande aussi de grandes facultés d’adaptation aux institutions. Il en est pleinement conscient : « Le Chirec met un point d’honneur à avoir une faculté d’adaptation efficace pour assurer une prise en charge rapide des patients dans un secteur de soins de santé en perpétuelle évolution. »
Le lien avec les généralistes
Enfin, pour lui, « la qualité de soins optimale ne peut être prodiguée aux patients sans la collaboration parfaite avec les médecins généralistes. Avec les médecins de première ligne, plusieurs pistes de réflexions ont lieu pour pouvoir donner à ces médecins une meilleure accessibilité à nos services et à nos spécialistes. »